S'offrir de la douceur... de la douceur... encore de la douceur...
A soi, rien qu'à soi, rien que pour soi...
Un temps pour soi, où rien d'autre ne compte que ce qui est là dans l'instant.
Un temps où tout est observé sans jugement, même ses propres jugements.
Un temps où tout est accueilli, comme on accueille un enfant pour le réconforter.
Un temps qui passe, où tout passe, sauf l'essentiel.
Un temps qui vit et se nourrit de vide.
Un temps qui meurt et laisse-aller ce qui appartient au passé.
Un temps qui crée un espace ami avec l'inconnu.
Un temps qui laisse exister les désirs les plus subtils.
Un temps qui crée dans l'invisible ce qui demain sera visible.
Ce temps est venu. C'est maintenant. C'est ici.
C'est partout. C'est tout le temps.
Plus mon coeur s'ouvre, plus je perçois la douceur.
Plus je perçois la douceur, plus je la vois.
Plus je vois la douceur, plus je la renvois.
Plus je renvoie la douceur, plus je la sens.
Plus je sens la douceur, plus je la reçois.
Plus je reçois la douceur, plus mon coeur s'ouvre.
Et là... tout n'est plus que douceur. Non, la vie n'est pas dure.
C'est la résistance à la douceur, qui est dure.
C'est le manque de douceur, qui est dur.
Il n'y a personne qui puisse nous donner la douceur que nous nous refusons.
C'est un cadeau... de soi... à soi... renouvelable à l'infini !
Que le monde est doux quand on est doux avec soi-même.
Finie l'impuissance, c'est l'ouverture à l'infini des possibles.
Nourris de douceur, nous sommes capables de répondre aux situations...
Nourris de douceur, nous répondons avec le coeur.
Et ce qui peut être fait, se fait.
Si le coeur vous en dit, cette musique peut vous accompagner sur le chemin de la douceur. Je vous laisse l'écouter, la ré-écouter, pour reconnaître et amplifier la douceur en vous. Bon voyage au pays de l'amour inconditionnel.
Le monde vous dit merci. Il a besoin de chacun d'entre nous.